Base de location: Maison complète ou appartement
Nombre de chambres à coucher: 1; Nombre d'autres chambres avec lits: 0
Nombre de salles de bain: 1
Appartement confortable et ancien des années 1400 situé au cœur de l'un des quartiers les plus suggestifs et centraux de la ville.
Le bâtiment est situé à deux pas du Panthéon, de la Piazza Navona, de la Piazza Venezia et des diverses attractions qu'offre le centre historique de Rome. A proximité se trouvent tous les services nécessaires, par exemple : supermarchés, restaurants, cafés, pharmacies, services touristiques et tout ce qui peut être utile pour rendre votre séjour aussi confortable que possible.
En plus de l'emplacement central, de la proximité des monuments historiques et des services de la région, l'appartement est également bien meublé, en détail il se compose de : un salon accueillant, entièrement équipé et confortable avec canapé-lit et cheminée, une cuisine avec plaques à induction, lave-linge et réfrigérateur, une mezzanine avec lit double, télévision, climatisation et salle de bain (incluant tous les services).
L'ensemble de l'appartement est structuré en bois de noyer italien, ce qui donne à la structure un aspect romantique et familier.
Le bâtiment est soumis à la protection du patrimoine culturel italien puisqu'il s'agissait auparavant d'un ancien couvent historique du centre de Rome. La rue elle-même a des origines très anciennes, comme en témoigne la présence au milieu de celle-ci d'un arc spectaculaire de l'époque romaine (environ 10 mètres de haut), qui donne son nom à la rue homonyme "ciambella". C'est le seul tronçon des anciens "Thermes d'Agrippa" encore debout (construit par Marco Vipsanio Agrippa, gendre d'Auguste, entre 25 et 19 avant JC, ce sont les plus anciens bains publics de Rome).
Sous la partie gauche de l'arc (beignet) se trouve un beau tabernacle en marbre de style Renaissance avec une copie du XIXe siècle de la miraculeuse "Madonna del Rosario" particulièrement vénérée car elle a accompli le miracle de bouger les yeux en 1796 ("ce miracle étant renouvelé pour trois semaines »), en raison de l'invasion française des États pontificaux.