Au rez-de-chaussée :
un salon avec un canapé (convertible en lit double), une table basse, un fauteuil, une table de salle à manger pour 4 personnes, une TV et internet/wifi,
une cuisine américaine entièrement équipée avec four, micro-ondes, lave-vaisselle, réfrigérateur/congélateur, plaque à induction, bouilloire, machine à café Nespresso, grille-pain et tout le nécessaire pour cuisiner.
A l'étage :
une chambre avec un lit double de 160 x 200 cm, un placard, une commode, un bureau et un large miroir,
une salle de douche avec lavabo, sèche-cheveux, sèche-serviettes et WC.
L'appartement est aussi équipé d'un lave-linge, d'un fer et d'une table à repasser.
Le linge de maison est fourni (draps, serviettes et torchons) et les lits sont faits à votre arrivée.
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Règles supplémentaires :
Arrivée/check-in : entre 14h et 20h.
Arrivées tardives, des suppléments s'appliquent :
30€ entre 20h et 22h,
50€ entre 22h et 23h,
80€ après 23h.
Départ/check-out : jusqu’à 11h maximum.
Selon l’heure convenue, nous vous retrouverons à l’appartement pour récupérer les clés.
Dimanche et jours fériés :
Si vous prévoyez d’arriver ou de partir un dimanche ou un jour férié du calendrier français, un supplément de 30€ s'applique, à régler à votre arrivée.
Ménage :
Le prix du ménage dans l’annonce correspond à un séjour inférieur à deux semaines.
Si votre séjour est supérieur à deux semaines, le prix du ménage sera doublé. Le complément vous sera demandé.
Exemple : dans un cas où le ménage initial est de 60€, pour plus de deux semaines, il sera de 120€.
Merci de votre compréhension.
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Un peu d'histoire :
La rue Sainte-Catherine du XXIe siècle, long ruban rectiligne bordé de commerces qui en fondent l'identité et la notoriété, correspond pratiquement au cardo maximus, c'est-à-dire à la voie principale nord-sud de la ville ouverte des trois premiers siècles de notre ère.
A partir de la construction du rempart au Bas-Empire, en dépit d'agrandissements successifs, la densité des constructions augmente à l'intérieur des murs et la ligne droite s'efface au profit d'un tracé moins rigoureux, chaque portion de rue recevant un nom différent.
C'est seulement vers 1855 que la totalité de la voie prit le nom unique de Sainte-Catherine, alors que le redressement amorcé au XVIIIe siècle s'achevait peu à peu.
