L'appartement Montmorency

Au cœur de la vallée de la Loire, le Château d’Hodebert vous accueille pour un séjour hors du temps. Cette élégante demeure du XVIIIe siècle offre des logements de charme au coeur d'un parc paisible avec piscine. Parfait pour se ressourcer, découvrir les châteaux de la Loire ou célébrer un moment unique dans un cadre enchanteur. Vivez l’expérience d’un séjour inoubliable, entre histoire, nature et raffinement.
Vivez un séjour unique dans un lieu chargé d'histoire.

Le château d'Hodebert est dans notre famille depuis plus de 210 ans. Nous décidons de le racheter à notre famille en 2004 et depuis nous le restaurons avec passion et de patience. Nous sommes très heureux de pouvoir partager ce lieu unique qui respire le charme et la tradition. Nous ne cessons de respecter la richesse qui nous a été confiée. Le château d’Hodebert est inscrit à la liste supplémentaire des Monuments Historiques, le parc est quand à lui classé. Nous sommes membres des Vieilles Maisons Françaises et de la Demeure Historique, une association fondée en 1924 par Joachim Carvallo, arrière grand père du propriétaire d’Hodebert et propriétaire, à l’époque, du château de Villandry

La première mention connue d’Hodebert remonte à 1545, ce n’est qu’à partir du milieu du XVIIe siècle que l’on connaît avec précision les différents possesseurs du château. Après Henri de Codosny, conseiller et maître d’hôtel du roi, le bien entre dans la famille Dunoyer en 1675 ; il le restera jusqu’à la Révolution. En 1794, la propriété est achetée par Alexandre-François-Pierre Gouin, un négociant de Tours, qui la revend en 1808 à Louis-François-de-Sales de Sarcé ; son fils Eugène Victor de Sarcé léguera Hodebert à son neveu Robert Roullet de la Bouillerie. En 2004, Hélie et Ivana de la Bouillerie le rachète à leur famille afin de poursuivre cette aventure familiale.

Situé sur une terrasse entre deux confluents, le lieu d’Hodebert est habité depuis fort longtemps. Un polissoir fixe (destiné à lisser les outils par frottement) en témoigne ; longtemps resté inconnu, il a fallu attendre 1979 pour que des préhistoriens le visitent et en confirment l’authenticité. Long de 3,60 m, large de 2,40 m et épais d’1,50 m, l’énorme bloc de grès éocène porte sur sa face supérieure dix stries de polissage de 20 à 50 cm de longueur et onze cuvettes. Il est considéré par les spécialistes comme un des plus beaux polissoirs de Touraine